dimanche 31 mai 2015

Aller plus hauuuuuuuuuuuut (air connu)

Je reprends au pif des articles de l'an dernier, et je rigole. 
(Oui, j'aime toujours me relire, longtemps après, pour voir comment c'était) (peut-être est ce une des raisons de mon envie de documenter en bloguant ma vie et mes envies). 
Ca doit d'ailleurs être un truc qui me travaille à heure fixe, vu que l'an dernier j'ai fait la même chose le 27 mai (diantre, j'ai quelques jours de retard, je dois vieillir. La mémoire, tout ça). 

Je rigole, je rigole. A l'époque, je parlais de batte, de bottes, et du fait que j'allais bien, en mode corde raide. Aujourd'hui, je crois bien que je vais bien tout court. Ce qui, finalement, à lire, est plutôt chiant, vu qu'il se passe pas grand chose de croustillant dans ma vie, pas de rebondissement qui donne envie de lire la suite dans la foulée, mais qui, à vivre, est très agréable. Au bout de chaque rue, il y a la mer

Revivre le mois de mai 2014 ? Mouif, en fait, non merci. Trop complexe pour moi, finalement. 
Revivre le mois de mai 2015 ? Anytime, darlings. Anytime. Je signe où ? 

Je vogue sur un petit bout d'espoir, celui de la rentrée dernière, j'ai des clés qui n'ouvrent pas la porte de mon appartement dans mon sac à main, et une main dans laquelle enfouir la mienne. Des yeux verts, lacs où mon âme tremble et se voit à l'envers (vers connus). Un effet planant, comme d'être en montgolfière et de sentir la brise du vent, flotter doucement, un voyage qui n'en finit pas et me ravit. 

Est-ce que c'est gnan-gnan ? Certainement. Et ce que c'est grave ? Probablement. Est-ce que ça m'importe ? Point du tout. Je plane, et j'aime la sensation de la brise, si haut, plus haut. 

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