lundi 8 octobre 2012

Débrief

Crémaillère pendue. Rude réveil dimanche, vers les 13 heures du matin, à l'heure où blanchit la campagne
La faune était comme je l'attendais, disparate et joyeuse. Les convives se sont gentiment mélangés et de plus en plus à mesure que les bulles leur montaient à la tête. Les murs ont gaillardement vibré. Les voisins ont dû être ailleurs ou rendus sourds par des précédents locataires plus festifs ? Ils ne se sont pas manifestés. La police non plus.
Le chien a trouvé qu'il y avait trop de monde mais s'en est remis. L'appartement a trouvé qu'il y avait trop de monde aussi mais s'en est remis après une longue séance de nettoyage.
Les amis m'ont offert parfums, bougies, plats en pyrex (d'un copaing qui garde un souvenir ému de mon crumble et voudrait donc que je lui en fasse), fer à repasser (j'avais une perçeuse mais pas de fer à repasser, cherchez l'erreur), un plateau, une petite sculpture.
Et à consommer tout de suite : des bulles, du jus de raisin millésimé, une tarte au chèvre, des calissons, un tiramisu, A, du chocolat, du thé.
Ahhh ??? A. Fin de soirée en point d'orgue, donc. Surreal, but nice, still.

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