vendredi 14 juin 2013

(En)Fin de semaine

1. Ahhh le vendredi. Le plaisir de savoir que demain, il ne se passe rien. Que le réveil ne va pas me faire tomber du lit au bout de quelques heures de sommeil à peine. Que mes clients pourront aller se brosser pendant que je bulle. Petit bonheur. 

2. Est ce qu'on a légalement le droit de boire du coca avant 11h du matin quand on a l'impression qu'on va s'évanouir de fatigue dans les 10 minutes qui suivent ? Nan parce que j'aime pas le café et là, sinon, je vais avoir du mal à tenir jusqu'à ce soir. 

3. Ce soir, rien. Nada, niente, que dalle. Peut-être un bain de soleil sur la terrasse ou un bain tout court, selon le temps. Et un dodo très tôt. Peut-être même une tisane, soyons fous... 

4. J'étais cette semaine sous la verrière du Grand Palais et j'y retourne samedi soir. Voir Dirty Dancing, avec une copine. En mode pintade, hiiiiiiiiiiiii, attention les oreilles. 

5. J'ai passé un super week-end à Genève en fin de semaine dernière. J'ai même réussi à le prolonger un peu, presque volontairement (ahem). 

6. J'ai pris des couleurs à Genève, oui, il a fait beau, mais toujours sans cramer. 

7. Et j'ai réussi à ne pas me mutiler cette semaine, ni me brûler, bref je suis hyper fière de moi. En même temps j'aurais eu du mal, vu que le seul soir où j'ai dîné chez moi cette semaine c'était lundi, et comme je n'avais pas mis un pied chez moi depuis le vendredi matin avant de partir à Genève justement, j'ai pas mal minimisé les risques de ce côté là... 

8. J'ai rapporté avec moi 1,5 kg de chocolat (pas sur les hanches, encore emballé pour l'instant) suisse. Et on entame avec la copine un trafic de denrées. Au lieu des valises de billets ou de diamants attendus, on va s'échanger avec délectation saucisson contre chocolat. 

9. Demain je vais me faire poupouner chez le coiffeur. Pas mis les pieds depuis février et vu la tignasse, ça commence à être n'importe quoi, je vois les fourches à vue d’œil. Merci d'insister sur le massage du cuir chevelu, please. 

10. Ah, il est 11h ! A moi le coca ! Oui je sais. Je suis faible. Si vous saviez comme la chair est faible... 

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